ANSM - Mis à jour le : 13/02/2023
Dénomination du médicament
ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé
Chlorhydrate d'hydroxyzine
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant d'utiliser ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé?
3. Comment utiliser ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique : Antihistaminiques à usage systémique, dérivé triazolé - code ATC : R06AE07.
ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé contient une substance active chlorhydrate d'hydroxyzine.
Le chlorhydrate d'hydroxyzine est une substance qui appartient à la famille des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens.
L'hydroxyzine est un dérivé de la pipéridine qui est un réservoir de propriétés vasoconstrictrices.
L'hydroxyzine agit en inhibant la synthèse des prostaglandines et en augmentant le flux sanguin dans les parois des vaisseaux sanguins.
L'hydroxyzine est utilisée comme traitement symptomatique d'appoint des symptômes de sevrage de l'anxiété, de la dépression ou de la fatigue chronique.
L'utilisation d'ATARAX 25 mg, comprimé pelliculé est contre-indiquée.
NOTICE
ANSM - Mis à jour le : 28/03/2011
Dénomination du médicament
ATARAX 25 mg, comprimé enrobé
Encadré
Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
· Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez toute autre question, si vous avez un doute, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez jamais à quelqu'un d'autre, même en cas de symptômes identiques, cela pourrait lui être nocif.
· Si l'un des effets indésirables devient grave ou si vous remarquez un effet indésirable non mentionné dans cette notice, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.
Sommaire notice
Dans cette notice :
1. QU'EST-CE QUE ATARAX 25 mg, comprimé enrobé ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE?
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE ATARAX 25 mg, comprimé enrobé?
3. COMMENT PRENDRE ATARAX 25 mg, comprimé enrobé?
4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS?
5. COMMENT CONSERVER ATARAX 25 mg, comprimé enrobé?
6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES
1. QU'EST-CE QUE ATARAX 25 mg, comprimé enrobé ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE?
Classe pharmacothérapeutique
Indications thérapeutiques
Ce médicament est un antidépresseur.
Indications thérapeutiques
Ce médicament est indiqué dans le traitement symptomatique de la dépression.
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE ATARAX 25 mg, comprimé enrobé?
Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament
Sans objet.
Contre-indications
Ne prenez jamais ATARAX 25 mg, comprimé enrobé dans les cas suivants :
· allergie aux autres composants de ce médicament,
· antécédent d'hypersensibilité à ce produit ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6,
· antécédents de maladie du foie ou de rein,
· ulcère de l'estomac ou du duodénum en évolution ou récidivant,
· allaitement.
Nous vous donnons des conseils qui peuvent être utiles, avec un certain nombre de précautions pour vous aider à éviter les effets indésirables possibles.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont les suivants :
En effet, certaines femmes enceintes souffrent plus d'un ou plusieurs autres effets indésirables sérieux.
Il est important de prendre en considération les risques et les avantages d'utiliser Atarax® en cas de détournement des antécédents médicaux.
Les effets indésirables potentiellement graves (événements cardiovasculaires, troubles de la déglutition, troubles du rythme cardiaque) sont généralement sans gravité. L'utilisation de certains médicaments en cas de détournement des antécédents médicaux peut entraîner des effets indésirables graves.
Les femmes enceintes doivent consulter leur médecin avant de prendre Atarax®.
L'utilisation de certains médicaments pendant les grossesses et les allaitements d'un enfant en bonne santé peut augmenter les risques d'interactions médicamenteuses dues aux effets indésirables. Il est essentiel de suivre les instructions du médecin concernant le traitement et la posologie du médicament et de la dose la plus appropriée. Un médecin doit évaluer tout signe du médicament et l'efficacité du traitement.
Les effets indésirables rapportés après la naissance de l'enfant sont généralement sans gravité et peuvent être graves.
En cas de détournement des antécédents médicaux, il est indispensable de consulter le médecin et de lui demander conseil à un médecin.
L'utilisation d'autres médicaments pendant la grossesse peut entraîner des effets indésirables graves.
Les effets indésirables graves (événements cardiovasculaires, troubles de la déglutition, troubles du rythme cardiaque) peuvent être très graves.
Il est important de signaler à votre médecin tous les médicaments que vous prenez ou que vous utilisez.
Le traitement doit être débuté dans les premières semaines de vos antécédents médicaux.
En cas de détournement des antécédents médicaux, il est important de demander conseil à votre médecin avant de prendre Atarax®.
L'utilisation d'autres médicaments pendant les grossesses et les allaitements d'un enfant en bonne santé peut entraîner des effets indésirables graves.
L’augmentation de la fréquence des infections virales en milieu de travail est due à la recrudescence de la présence de virus respiratoires en milieu de travail et à l’augmentation des expositions professionnelles. L’augmentation des infections respiratoires virales en milieu de travail est le principal facteur de risque de maladies nosocomiales. Ces infections sont associées à des complications comme les complications oculaires et pulmonaires et à un risque accru d’infection des voies urinaires et génitales chez les patients. En effet, la présence de virus respiratoires au cours de la période pré et péri-opératoire augmente le risque de développer une infection des voies respiratoires après une chirurgie (1).
Les virus respiratoires sont des virus, transmis entre personnes par des voies aériennes. Ils se propagent de façon aéroportée et par les gouttelettes émises par la toux ou les éternuements. Les virus entériques tels que le virus respiratoire syncytial (VRS) sont responsables de plus de 50 % des infections respiratoires chez les enfants (2).
Les virus grippaux peuvent être transmis aux autres patients lors d’une consultation externe chez un professionnel de la santé ou par la pratique d’une activité en milieu de soins ou dans un espace public clos ou ouvert au public, lors de contact étroit ou par le biais de gouttelettes respiratoires aéroportées (3). La transmission du virus respiratoire par contact étroit, par aérosolisation ou par gouttelettes respiratoires infectieuses est très répandue dans le monde (4).
Des études ont montré que le contact étroit avec des professionnels de la santé était le mode de transmission le plus courant, le plus courant et le plus probable des virus respiratoires et qu’il était le plus couramment utilisé pour expliquer la transmission des virus (5).
Dans notre étude, nous avons utilisé la technique des gouttelettes et nous avons constaté que les travailleurs de la santé étaient responsables du plus grand nombre de contaminations.
Les virus ont une grande capacité de survie à l’intérieur de la cavité nasale et pulmonaire et les virus peuvent persister dans l’air pendant 10 à 14 jours à basse température, ce qui augmente leur transmission (6).
La présence de virus respiratoires à l’intérieur de la cavité nasale et pulmonaire est un facteur majeur de transmission. Les virus sont facilement infectieux dans le nez et la cavité nasale (7), ce qui entraîne une infection par inhalation ou par contact étroit (5).
Les virus peuvent pénétrer dans les poumons par inhalation ou par contact direct avec les muqueuses (5).
Les virus peuvent également entrer dans la circulation sanguine et se propager dans tout le corps. Les virus peuvent rester actifs dans le corps pendant plusieurs jours et dans les poumons pendant plusieurs semaines (5).
Les facteurs de risque d’infection à la fois virales et bactériennes sont le tabagisme, le diabète, l’obésité et les antécédents d’exposition à des bactéries pathogènes comme E coli, Salmonella, Staphylococcus aureus et Streptococcus pneumoniae (5).
Il existe de nombreuses infections virales et bactériennes en milieu de travail et les virus sont responsables de la majorité de ces infections.
Les virus qui provoquent des infections respiratoires sont les virus de la grippe, de la rhinovirus, de la coqueluche, de la mononucléose, du rhinovirus, du cytomégalovirus et de la dengue.
Les bactéries qui provoquent des infections respiratoires sont les bactéries anaérobies telles que Staphylococcus aureus et Streptococcus pneumoniae (8).
Les infections virales et bactériennes sont souvent associées aux mêmes souches de microorganismes et peuvent évoluer en un même type d’infection, une même bactérie (8).
Les bactéries en suspension dans l’air peuvent rester infectieuses pendant plusieurs semaines (5).
Les virus peuvent rester infectieux à l’intérieur de la cavité nasale et pulmonaire pendant de nombreuses semaines et les bactéries peuvent rester infectieuses pendant des mois dans la cavité nasale et pulmonaire (5).
Les bactéries peuvent également demeurer infectieuses dans les voies respiratoires pendant des semaines après l’exposition (7).
Les agents pathogènes peuvent également se déplacer dans le corps humain et rester infectieux pendant des semaines ou plus (6).
Une grande variété de virus respiratoires peut être transmise par les gouttelettes aérosolisées infectées dans la cavité nasale et pulmonaire (9).
Il existe un lien entre l’exposition professionnelle et la présence de virus respiratoires au cours de la période préopératoire et postopératoire (10).
Les virus peuvent pénétrer dans les poumons par inhalation ou par contact direct avec les muqueuses (11).
Les virus peuvent également pénétrer dans le corps par les muqueuses (11).
Les virus peuvent pénétrer dans la circulation sanguine et se propager dans tout le corps (11).
Il est important de noter que les infections à virus respiratoire peuvent survenir à tout âge et sont plus fréquentes chez les enfants et les personnes âgées (12).
Le risque de contracter une infection à virus respiratoire est encore plus élevé chez les personnes qui sont en surpoids (13).
Le risque d’infection par les virus respiratoires est élevé chez les enfants et les adultes de moins de 30 ans.
Les personnes de moins de 30 ans et les personnes âgées sont les plus susceptibles de contracter une infection à virus respiratoire (14).
L’exposition à des virus respiratoires tels que le SRAS, le MERS et la grippe peut contribuer à la progression de la fibrose kystique.
Une exposition à des virus respiratoires peut également contribuer à la progression de la BPCO et à d’autres maladies respiratoires chroniques (15).
Une étude a démontré qu’une exposition à des virus respiratoires peut contribuer à la progression de la fibrose kystique (16).
L’exposition à des virus respiratoires peut contribuer à une augmentation de la fréquence et de l’intensité des infections par des virus respiratoires (17).
L’évaluation du risque d’infection à virus respiratoire est basée sur les facteurs de risque de maladies chroniques associés à l’exposition aux agents pathogènes (18).
Il est essentiel de réduire le risque d’exposition aux agents pathogènes à l’origine des infections respiratoires en suivant un traitement antiviral, en pratiquant la distanciation sociale, en évitant les contacts étroits, en évitant les contacts avec les personnes infectées par le virus respiratoire, en se lavant régulièrement les mains et en se couvrant la bouche et le nez avec un mouchoir lorsqu’on éternue ou qu’on tousse (18, 19).
Une évaluation du risque d’infection à virus respiratoire est basée sur la gravité de la maladie, le risque d’infections secondaires et les facteurs de risque liés à l’exposition aux agents pathogènes responsables des infections respiratoires (18).
Il existe un lien entre la gravité de la maladie et le risque d’infection par les agents pathogènes responsables des infections respiratoires (20).
Une évaluation du risque d’infection à virus respiratoire est basée sur la gravité de la maladie, le risque d’infections secondaires et les facteurs de risque liés à l’exposition aux agents pathogènes responsables des infections respiratoires (20).
L’évaluation du risque d’infection à virus respiratoire est basée sur la gravité de la maladie, le risque d’infections secondaires et les facteurs de risque liés à l’exposition aux agents pathogènes responsables des infections respiratoires (20).
Le risque d’infection à virus respiratoire est élevé chez les personnes âgées, les personnes dont le système immunitaire est affaibli et les personnes dont l’état de santé est fragile (21).
Le risque d’infection à virus respiratoire est élevé chez les enfants de moins de 30 ans et les personnes dont l’état de santé est fragile (21).
Une évaluation du risque d’infection à virus respiratoire est basée sur la gravité de la maladie, le risque d’infections secondaires et les facteurs de risque liés à l’exposition aux agents pathogènes responsables des infections respiratoires (21).
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